Diagnostic de Performance Energétique (DPE)

Le DPE est un élément incontournable pour mesurer les performances énergétiques et environnementales d’un logement. Il influe également sur la valeur immobilière du bien en le sanctionnant par une note. Voici un guide pour mieux appréhender ce diagnostic et le préparer efficacement.

dpe diagnostic de performance énergétique


Le DPE, en bref

Définition : Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) renseigne sur les performances énergétiques et climatiques du logement, en lui attribuant sur une note de A (meilleure) à G (pire). C’est un outil « officiel » qui sert également à piloter les politiques publiques en obligeant par exemple les propriétaires de passoires énergétiques à rénover leur logement.

maison avec étiquette de diagnostic performance énergétique

Obligations : Le DPE est obligatoire pour la vente d’un logement ou sa location mais aussi pour la construction d’un bien neuf. Attention, en 2024, le DPE devient également obligatoire pour prétendre aux aides financières comme MaPrimeRénov’. Ainsi, un logement classé F ou G ne pourra pas prétendre aux aides « par geste » qui ne seraient de toute façon pas efficaces dans son cas. Il sera obligatoirement orienté vers un dispositif d’aides pour une rénovation « globale ».

Validité : Un Diagnostic de Performance Energétique est valable 10 ans sauf si vous vous trouvez dans un des cas ci-dessous.


Date du DPEValidité
Du 01/01/2013
au 31/12/2017
Jusqu’au 31/12/2022
Du 01/01/2018
au 30/06/2021
Jusqu’au 31/12/2024

Professionnel : Un DPE doit impérativement être réalisé par un diagnostiqueur qui est un professionnel indépendant disposant d’une certification. Des organismes de certification de personnes, eux-mêmes validés par le comité français d’accréditation (COFRAC), sont chargés de vérifier les compétences des candidats.

diagnostiqueur certifié pour dpe

Il faut bien prendre en compte que le DPE est un document « opposable » c’est-à-dire que le diagnostiqueur engage juridiquement son travail. Cela contribue à la fiabilité de l’outil.

Déroulement d’un DPE

En amont : Un DPE requiert un minimum de préparation de la part du propriétaire. En effet, il va devoir fournir tous les documents utiles au diagnostiqueur. Des papiers administratifs bien sûr comme l’acte de propriété ou le numéro fiscal du bien par exemple. Mais aussi, toutes les preuves des travaux effectués dans le logement.

préparer son diagnostic performance énergétique

Un DPE ne s’improvise pas. Infographie : Ministère de la Transition Ecologique.

Pendant le diagnostic : Il s’agit d’un diagnostic « non invasif ». Comprenez que le diagnostiqueur vient uniquement pour « observer » le logement et faire des relevés. Il n’ira pas carotter un mur pour déterminer le niveau d’isolation de la paroi d’où l’importance des factures pour attester de tel ou tel chantier. En l’absence de données fiables, le diagnostiqueur n’engagera pas sa responsabilité sur du déclaratif recueilli auprès du propriétaire. Cette pratique est clairement interdite.

facture énergie incompatible diagnostic performance énergétique

Une facture ne constitue pas non plus une « preuve » des performances énergétiques du logement. En effet, elle dépend fortement du comportement des utilisateurs et ne peut constituer une information « objectivement comparable ».

Si le profesionnel ne peut pas constater visuellement les informations recherchées et en l’absence de documents exploitables, il choisira des données par défaut qui correspondent généralement à la date de construction de la maison.

méthode des diagnostiqueurs DPE

Le protocole suivi par le diagnostiqueur est strict. Source : Ministère de la Transition Ecologique.

Après : La note est calculée par la suite. Pas directement « par le diagnostiqueur » mais par un logiciel de façon à ce que les résultats soient les plus « impartiaux » possibles. Les logiciels utilisent tous les mêmes coefficients issus de la méthode 3CL (Calcul de Consommations Conventionnelles des Logements).

méthode de calcul 3cl pour dpe

Les indicateurs de « performance » sont définis clairement dans la méthode de calculs et ne sont pas à l’appréciation du diagnostiqueur.

Les logiciels sont en outre évalués régulièrement. En voici la liste :

Le diagnostiqueur doit ensuite obligatoirement transmettre le DPE à l'observatoire de l'agence publique de l'énergie (ADEME). Elle lui insigne un numéro d'identification unique à 13 chiffres, sans quoi, le DPE n’est pas valable.

Résultats d’un DPE

Quand on reçoit son DPE, on retient essentiellement la « note » de A à G. Pour clarifier les choses, cette note est en fait le résultat d’un double seuil. Elle révèle à la fois la performance énergétique et la performance climatique.

maison étquette DPE C

Performance énergétique (kWh EP/m².an) : Elle traduit les performances de la maison en termes d’isolation et de rendement du chauffage. Il est important de noter que l’unité choisie s’exprime en « énergie primaire ». Comprenez que les logements se chauffant à l’électricité vont être pénalisés car on considère qu’il faut 2.3 kWh d’énergie primaire pour fournir 1 kWh d’énergie finale au consommateur. Ce coefficient de 2.3 tient compte notamment d’un rendement assez faible au niveau des centrales nucléaires et des pertes liées au transport de l’électricité sur le réseau. Pour les autres énergies, ce coefficient est de 1.

étiquette diagnostic performance énergétique

Performance climatique (kg CO2/m²/an) : Elle reflète les émissions de gaz à effet de serre du logement selon le type d’énergie utilisée. Tous les usages du bâtiment sont comptabilisés : chauffage, eau chaude, climatisation, éclairage et auxiliaires (un moteur de VMC par exemple). Ici, c’est l’inverse, l’électricité est plutôt valorisée par rapport aux énergies fossiles car la production nucléaire est faiblement carbonée. Même chose pour les énergies renouvelables comme le bois ou le solaire qui sont logiquement avantagées. Voici les seuils d’émissions de carbone retenus par type d’énergie.


EnergieEmissions de CO2
Bois type plaquettes24 g de CO2 par kWh
Bois type bûches ou granulés30 g de CO2 par kWh
Electricité pour climatisation*64 g de CO2 par kWh
Electricité pour eau chaude*65 g de CO2 par kWh
Electricité pour éclairage*69 g de CO2 par kWh
Electricité pour chauffage*79 g de CO2 par kWh
Gaz de ville227 g de CO2 par kWh
Gaz en cuve272 g de CO2 par kWh
Fioul324 g de CO2 par kWh
Charbon385 g de CO2 par kWh

*Les chiffres varient car l’électricité est plus ou moins carbonée selon le moment où elle est produite. Les « pics » hivernaux sont souvent couverts par des énergies fossiles ce qui explique que le poste « chauffage » est davantage émetteur de CO2.

Note finale : Attention, l’étiquette finale représente « la pire note » entre ces deux éléments. Sur votre résultat, vous verrez à droite l’étiquette « performance climatique ». Elle est uniquement affichée à titre pédagogique.

étiquette diagnostic performance énergétique

Note énergétique D + Note climatique E = Note finale E

La note finale prend bien en compte la moins bonne des deux performances.

Risques d’un mauvais DPE

Un logement présentant un mauvais DPE a toutes les chances d’être inconfortable pour l’occupant et extrêmement coûteux à l’utilisation. Mais les risques financiers pour le propriétaire sont aussi réels.

Baisse de la valeur immobilière : Une enquête menée par les Notaires de France indique qu’une maison classée D qui obtiendrait une étiquette A ou B voit sa valeur augmenter de 6 à 14%. A l’inverse, une étiquette très énergivore type F ou G entraine une décote de 3 à 19%. L’impact reste variable selon les régions en fonction de la tension du marché.

maison chauffée au bois

L’impact du DPE sur le prix de vente est réel.

Sanction du législateur : Les intentions du législateur sont claires. Il s’agit de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de proposer un parc de logement « décent ». De ce fait, les passoires thermiques sont dans le viseur des pouvoirs publics avec des interdictions programmées qui s’appliquent pour les nouveaux contrats de location.


DateInterdiction de louer si…
1er janvier 2023Consommation en énergie finale
< 450 kWhEF/m²/an
1er janvier 2025DPE F
1er janvier 2028DPE E
1er janvier 2034DPE D

De plus, depuis le 24 août 2022, les propriétaires de logements classés F ou G sont contraints à un gel des loyers. En cas de vente, le DPE doit obligatoirement s’accompagner d’un audit réglementaire. Il s’agit d’un document qui va bien plus loin dans le détail des travaux à mettre en œuvre. Le futur acheteur a ainsi une information claire sur ce qui doit être entrepris par la suite.

Améliorer son étiquette DPE

Principe : Vous l’aurez compris, pour obtenir une « bonne note » au DPE, il convient de jouer sur les volets « énergie » et « climat » en même temps. Ainsi, une passoire thermique (énergie ↓) chauffée par une chaudière à granulés (climat ↑) ne pourra pas obtenir une note satisfaisante. Idem pour une maison très bien isolée (énergie ↑) chauffée par une chaudière au fioul (climat ↓).

Rénovation globale : Pour concilier les deux volets, l’idéal reste de mener une rénovation « globale » du logement. Elle consiste à agir sur « tous les postes en même temps » plutôt que de réaliser des actions ponctuelles. En effet, les études montrent clairement que les rénovations en une seule étape constituent le moyen le plus efficace d’atteindre des performances réelles après travaux, en visant à minima une étiquette B. Une bonne coordination évite en plus les pathologies dans la maison.

rénovation globale performante

Une rénovation performante ne s’improvise pas... Il est par exemple impératif d’installer une ventilation en cas de changement de fenêtres pour éviter les problèmes de moisissures. De même, des travaux au niveau des menuiseries doivent s’accompagner d’une action sur l’isolation des murs au risque de créer des ponts thermiques.

A éviter : Les actions « isolées » restent à éviter car elles ne sont pas efficaces. On pense par exemple souvent à « changer ses fenêtres » en premier lieu. Or, si ces travaux peuvent améliorer le confort en renforçant l’étanchéité à l’air, ils n’auront qu’une influence marginale sur le DPE. En effet, les fenêtres représentent une surface déperditive assez faible et resteront toujours bien moins performantes qu’un mur isolé.

france rénov le service public de l'énergie

Un conseiller du service public France Rénov’ peut vous guider gratuitement sur les travaux les plus pertinents à mener. Le DPE vous donne aussi des indications en ce sens.

De plus, en menant des travaux « à minima », il y a un risque de « tuer le gisement d’économies d’énergie ». Par exemple, en rénovant une façade avec seulement 5 cm d’isolant au lieu des 15 cm préconisés, cela rend toute intervention future « non rentable » alors que le surcoût à l’investissement est pourtant très faible.

Fiabilité d’un diagnostic de performance énergétique

Comme le DPE a une influence significative sur la valeur du bien mais aussi sur la mobilisation de MaPrimeRénov’, il est légitime de s’interroger sur sa fiabilité.

Standardisation : En théorie, tout est fait pour que cet outil soit fiable et standardisé. D’un côté, les professionnels sont certifiés et responsables juridiquement. D’un autre côté, la méthode de calculs est commune à tous les diagnostiqueurs et les résultats sont consignés par un observatoire indépendant.

répartition des diagnostics de performance énergétique par note

Répartition des DPE selon l’observatoire de l’Ademe.

Quelques trous dans la raquette : En pratique, on observe cependant quelques ratés. L’UFC Que Choisir a par exemple réalisé un panel de tests en demandant plusieurs DPE pour les mêmes logements auprès de divers diagnostiqueurs. Sur les 7 maisons passées au crible, 6 ont obtenu des étiquettes énergétiques différentes.

Compétences du diagnostiqueur : Ces écarts s’expliquent par la compétence des diagnostiqueurs. En effet, il faut qu’ils soient capables de bien identifier les matériaux en jeu et qu’ils soient précis dans leurs mesures. Mais cette tâche est souvent rendue complexe en pratique. Difficile par exemple d’identifier précisément les différents composants d’un mur sans « toucher » au bâtiment.

Un diagnostiqueur pourra observer un trou existant dans la paroi pour faire ses relevés alors qu’un confrère, qui ne l’aura pas vu, optera pour une valeur par défaut. L’évaluation finale peut s’en trouver modifier en bout de chaîne.

Arnaques aux DPE

On note également quelques arnaques qui restent heureusement ponctuelles.

Faux DPE : La plus courante est celle d’un « faux DPE » qui se présente sous la forme d’un « bilan gratuit ». L’escroc présente l’audit comme un dispositif obligatoire pour recourir aux aides. Son but est de vous vendre par la suite des travaux de rénovation énergétique au prix fort. Notons sur ce point que le diagnostiqueur est toujours indépendant de toutes entreprises de travaux et ne peut en aucun cas être « juge et partie ».

arnaque diagnostic performance énergétique

⚠ Prudence, cette mauvaise pratique pourrait fleurir rapidement maintenant que le DPE constitue le point d’entrée obligatoire pour bénéficier des aides à la rénovation. ⚠

Autres arnaques recensées :

Prix d’un DPE

Un Diagnostic de Performance Energétique coûte entre 100 et 250€ selon la taille du bien et son année de construction. Ce tarif n’est pas réglementé et il faut donc contacter plusieurs diagnostiqueurs pour comparer les devis.

Pour cela, Conseils Thermiques s'associe à plusieurs partenaires afin de vous mettre en relation avec des artisans locaux certifiés RGE. Vous pourrez ainsi étudier plusieurs propositions techniques et commerciales gratuitement et sans engagement.

Je souhaite rencontrer des entreprises >

Ces travaux de rénovation énergétique donnent droit à des subventions (prime énergie). Si vous avez déjà un devis (non signé), vous pouvez encore y prétendre.

Je souhaite obtenir ma prime énergie >

Pensez à toujours vérifier la certification du diagnostiqueur sur le site gouvernemental.

Autres informations utiles du DPE

On termine ce panorama en évoquant les autres informations disponibles sur le DPE qui sont souvent utiles même si elles restent moins « impactantes » que la note.

Coûts annuels en énergie : Il s'agit d'une estimation détaillée « poste par poste » des factures d'énergie auxquelles s'attendre selon un comportement « standard ». Ce n'est donc pas une information prédictive mais elle a toute sa pertinence pour établir des comparaisons entre les logements.

coût annuel énergie diagnostic performance énergétique

Cette estimation s’accompagne de pistes concrètes pour économiser l'énergie au quotidien. Régler le thermostat à 19°C en hiver ou la climatisation à 28°C en été par exemple.

Qualité de l'enveloppe : Cela prend la forme d’une infographie qui recense les déperditions de chaleur à travers chaque paroi.

performance enveloppe diagnostic performance énergétique

Confort d'été : Cet indicateur traduit le confort d’été offert par le bâtiment mais sans considérer la climatisation.

Scénarios de travaux : Des scénarios de travaux plus ou moins ambitieux sont ensuite proposés. Un distingo est établi entre les travaux « prioritaires » et ceux plus « secondaires ». Mais vous l’aurez compris, seul un lot de travaux qui permet d’atteindre une étiquette B est réellement efficace et durable.

recommandations travaux diagnostic performance énergétique

Notons que les recommandations de travaux préconisées par le diagnostiqueur ne sont pas « opposables » d’un point de vue juridique. Elles ont uniquement un caractère informatif.

Vous pouvez télécharger un exemple de DPE pour savoir à quoi vous attendre.

Conclusion : Le DPE, un outil d’information indispensable pour son logement.

Le DPE renseigne sur les performances énergétiques et climatiques d’un logement et permet des comparaisons standardisées. C’est donc un outil sérieux avec de nombreux garde-fous pour éviter les fraudes même s’il faudra toujours s’assurer de la certification du diagnostiqueur avant son intervention.

Ce Diagnostic de Performances Energétique est désormais le point d’entrée pour bénéficier des aides à la rénovation, notamment MaPrimeRénov’. Il doit permettre d’orienter un maximum de logements vers des rénovations globales performantes. Il sert donc aussi de « boussole » aux pouvoirs publics pour piloter la rénovation énergétique des bâtiments.

portrait lAucun robot n'a été maltraité pendant l'écriture de cet article. C’est bel et bien l’œuvre de deux humains passionnés ! Pour leur payer un café, vous pouvez faire un don à l’association. Merci ❤ portrait l

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#2 - <a href="conseils-thermiques.org">Michel</a> - 13 Septembre 2024

Bonjour. J'ai la même question, mais pour un DPE en mars 2023 pour la maison achetée en septembre 2023

#1 - Pacodoso - 09 Mars 2024

Bonjour, je recherche à m'informer concernant un DPE réalisé par le vendeur en aout 2021 pour une maison que nous avons acheté en mars 2022.
Ce DPE classe la maison en niveau E, ce qui est plutôt correct pour une maison de 1976, dont le chauffage électrique est assurée par des convecteurs. Dans le DPE, l’isolation des murs est jugée “bonne”, et l’isolation des murs ne fait pas partie des travaux recommandés.
Pour pouvoir obtenir les aides de l’ANAH et bénéficier d’un EPTZ dans le cadre des travaux de rénovation énergétique, un audit énergétique est nécessaire : on a fait réaliser cet audit en février 2023. L'audit classe cette fois la maison en G, et l’isolation des murs fait partie des recommandations, alors que l’audit et le DPE se basent sur la même méthodologie : 3CL-2021.
La principale différence entre le DPE et l’audit concerne la composition des murs :
- pour le DPE, il s’agirait de "Mur double briques creuses avec isolation intégrée donnant sur l’extérieur"
- pour l’audit, il s’agirait de "murs en brique alvéolée sans isolation"

Dans les annexes du DPE, l’auditeur informe s’être basé sur des justificatifs pour établir le DPE : "Rapport mentionnant la composition des parois”. C’est probablement ainsi qu’il justifie la performance thermiques des différentes parois dans la section “Enveloppe”, même si il est n’est plus question d’isolation ici :
- Type de local non chauffé adjacent : l'extérieur
- Matériau mur : Mur en briques creuses
- Isolation : non
- Umur (saisie directe) : Document fourni : 0,398 W/m2.K
J'ai contacté l'auditeur ayant réalisé le DPE pour obtenir plus d'informations sur les justificatifs fournis, mais après de brefs échanges je n'ai plus aucune nouvelle depuis le 3 janvier, malgré de nombreuses relances par mail ou au téléphone...
De plus, j'ai découvert récemment que le DPE n'avait pas de numéro ADEME : il serait donc nul et non avenu.
Je voudrais maintenant réaliser la sondage pour connaître la composition "réelle" de nos murs, et pouvoir également adapter les travaux d'isolation extérieur.
Dans le même temps, j'envisage de me retourner contre l'auditeur ayant réalisé le DPE.
Qu'en pensez-vous?
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